Tout savoir sur les Parcs Résidentiels de Loisirs

Un Parc Résidentiel de Loisirs est une option originale, pratique et économique. Moins cher qu’une maison de campagne, plus pratique qu’un mobil-home, un Parc Résidentiel de Loisirs offre une solution économique pour réduire les problèmes et éviter les risques, tout en répondant aux attentes des propriétaires. Dans cet article, nous allons voir tout ce qu’il y a à savoir sur les Parcs Résidentiels de Loisirs.

Parcs Résidentiels de Loisirs, un concept révolutionnaire

Le camping-caravaning est en plein essor depuis les années soixante. Depuis les années 1990, les hôtels de plein air ont vu les toiles de tente céder la place aux maisons en bois ou HLL et aux mobil-homes. Si ces formules persistent, et qu’il y a encore de beaux jours devant eux, le troisième se développe de plus en plus rapidement: le Parc Résidentiel de Loisirs ou PRL. Selon le code de l’urbanisme (articles R. 111-32 et R. 111-46), le PRL est une sorte de base d’hébergement pour les touristes. Cependant, cela peut aussi permettre aux gens de bénéficier d’une résidence secondaire.

Différents types de parcs résidentiels de loisirs

Il y a deux types de parcs résidentiels de loisirs:

PRL Hôtelier

Le concept de Parc Résidentiel de Loisirs, inconnu des Français, comprend deux systèmes de services et d’opérateurs très différents, ce qui peut générer des doutes chez les propriétaires. D’une part, l’hôtel PRL, qui propose une location annuelle de biens immobiliers dans le camping, où le locataire achète un logement de vacances léger.

En résumé, c’est un camping spécialement équipé qui doit être géré par une personne morale ou physique, HLL ou, dans des cas exceptionnels, mais très rarement, une caravane.

Les places de parking du PRL peuvent être vides ou occupées par l’un des éléments indiqués ci-dessus. Vous pouvez louer pour la nuit, pour une semaine ou plus, bref, vous pouvez y passer vos vacances, mais ne jamais y vivre.

C’est simplement dans les critères de classement, vous trouverez des lots généralement d’une superficie minimum de 200 m², permettant obligatoirement la possibilité de garer un véhicule, et bien d’autres critères qualitatifs différents des campings.

Les animations seront également différentes. Dans un parc d’attractions de quartier mode hôtel, vous ne trouverez généralement pas la distraction qui existe actuellement dans les forfaits camping club. C’est pourquoi ils ne sont pas destinés à être situés à proximité des plages ou d’autres stations balnéaires, ils sont généralement plus destinés aux personnes en quête de calme et de détente, et non pas le but de la même clientèle.

Les extensions PRL se retrouvent également dans les campings classés qui répondent à ces critères et adhèrent à l’ambiance classique camping club avec toutes les activités et animations habituelles.

PRL à cession de parcelle

En revanche, le Parc Résidentiel de Loisirs avec cession de parcelles, qui marque le parc d’attractions du domaine, est entièrement constituée de propriétaires utilisant tous les espaces et services. Dans ce dernier scénario, l’acquéreur devient propriétaire du logement dans l’immeuble entièrement construit par acte public, mais aussi de son bien. L’acheteur est propriétaire de cette propriété dans le cadre de la propriété.

Le régime juridique des parcs d’attractions communautaires gérés par cession de parcelles est réglementé d’une part par le règlement de partage et d’autre part par le règlement de division (PRL). Ces PRL dites non hôtelières sont exclues du champ d’application de l’art. R. 443-8 du code de l’urbanisme, qui ne s’applique qu’au PRL avec des aménagements hôteliers et de camping pour l’exception prévue à l’art. R. 443-1. Par conséquent, des règles spécifiques s’appliquent au PRL pour le développement de sous-unités qui ne sont pas des hôtels. Par conséquent, les propriétés non hôtelières bénéficient des mêmes avantages marketing que les lotissements, notamment conformément à l’art. R. 442-13, qui permet, sous certaines conditions, la vente de lots avant l’achèvement des travaux dans les lotissements.